Centrale-Énergies
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Centrale-Energies est un groupement professionnel inter-écoles Centrales destiné à informer de façon scientifique, neutre et la plus exhaustive possible. toutes personnes intéressées par le domaine de la Transition Energétique,
Centrale-Energies souhaite éclairer le débat sur les évolutions indispensables et urgentes du secteur de l'énergie, à travers ses sources, son transfert, son stockage et ses utilisations, pour tendre vers un monde énergétique décarboné, respectueux de l'environnement et des ressources naturelles.frSPIP - www.spip.netCentrale-Énergieshttp://www.centrale-energie.fr/spip/IMG/siteon0.jpg?1547831531
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96144Les enjeux environnementaux des projets nucléaires actuels et futurs mercredi 3 avril
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http://www.centrale-energie.fr/spip/spip.php?article4172024-03-01T17:52:12Ztext/htmlfrCentrale ÉnergiesNucléaireConférence
<p>Conférence-débat organisée par Centrale-Energies et X-Environnement <br class='autobr' />
Mercredi 3 avril 2024 à La Maison des Ponts <br class='autobr' />
• Jacky Rousselle, ingénieur Ecole Centrale de Lyon, ingénieur du Génie Atomique, expérience de plus de 40 ans chez EDF pour les projets nucléaires neufs en France et à l'export. Membre de la Société Géologique de France depuis 1991 <br class='autobr' />
Le conférencier présentera l'approvisionnement actuel en uranium du parc français, les besoins futurs et les ressources mondiales estimées en uranium. Il exposera (...)</p>
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<div class='rss_texte'><p>Conférence-débat organisée par Centrale-Energies et X-Environnement</p>
<p>Mercredi 3 avril 2024 à La Maison des Ponts</p>
<p>• <strong>Jacky Rousselle,</strong> ingénieur Ecole Centrale de Lyon, ingénieur du Génie Atomique, expérience de plus de 40 ans chez EDF pour les projets nucléaires neufs en France et à l'export. <br class='autobr' />
Membre de la Société Géologique de France depuis 1991</p>
<p>Le conférencier présentera l'approvisionnement actuel en uranium du parc français, les besoins futurs et les ressources mondiales estimées en uranium. Il exposera la vision de la Direction Générale de l'Energie et du Climat pour l'aval du cycle du combustible. En dernier lieu, il communiquera sa vision sur les critères d'évaluation environnementale des projets nucléaires futurs</p>
<p>• <strong>Daniel Heuer</strong>, directeur de recherche émérite au LPSC-CNRS/IN2P3, spécialiste des réacteurs à sels fondus ;</p>
<p>Après avoir présenté les principaux fondements de la physique des réacteurs nucléaires, comme la réactivité, les coefficients de contre réaction ou la régénération de la matière fissile, le conférencier les déclinera sur les différents cycles du combustible et les deux grandes classes de réacteurs nucléaires que sont ceux à combustible solide et ceux à combustible liquide. Ce sera l'occasion d'examiner les problématiques liées aux déchets radioactifs et à la sûreté nucléaire qui sont les deux grands verrous sociétaux au déploiement massif du nucléaire civil.<br class='autobr' />
Dans un deuxième temps, il présentera les enjeux du nucléaire du futur et plus particulièrement sa place dans la lutte contre le changement climatique. On verra alors que les défis sont gigantesques autant d'un point de vue financier que de celui des ressources. Il proposera quelques pistes pour relever ces défis et quelques scénarios de déploiement mondiaux pour éclairer ces aspects.</p>
<p>Nos intervenants répondront également aux questions que vous vous posez.</p>
<p>Après la conférence, vous êtes cordialement convié à échanger autour d'un rafraichissement offert à tous les participants</p>
<p><strong>Quand ? </strong> Le mercredi 3 avril de 19h00 à 21h (accueil à partir de 18h45)<br class='autobr' />
<strong>Où ?</strong> La Maison des Ponts, 42 Rue Boissière, 75116 Paris Métro : Boissière</p>
<p><strong>Participation aux frais </strong> : 15 €, tarif préférentiel de 10€ pour les Centraliens et X cotisants, gratuit pour les étudiants de toutes formations.</p>
<p><strong>Pour vous inscrire à la CONFERENCE</strong>, merci de remplir le formulaire accessible en cliquant sur le lien ci-après : <a href="https://forms.gle/KaqCr1kEJbMj51rP6" class='spip_out' rel='external'>inscription à la conférence</a></p></div>
Reflets de la Physique - N°77 février 2024 Transition énergétique : les défis de la défossilisation
http://www.centrale-energie.fr/spip/spip.php?article414
http://www.centrale-energie.fr/spip/spip.php?article4142024-02-13T17:15:02Ztext/htmlfrGuy Moreau (ECL 69)
<p>Vous trouverez en attachement le N°77 de la revue de la Société Française de Physique <br class='autobr' />
Chères lectrices, chers lecteurs, Le dossier que vous tenez entre vos mains marque une étape inédite dans la production de Refl ets de la Physique. C'est le fruit du travail d'une commission de la Société Française de Physique. Par le passé, notre revue a souvent accueilli des articles ou des numéros spéciaux portant sur des sujets scientifi ques complexes, fortement imbriqués dans des considérations sociétales (...)</p>
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<a href="http://www.centrale-energie.fr/spip/spip.php?rubrique2" rel="directory">Publications</a>
<img class='spip_logo spip_logo_right spip_logos' alt="" style='float:right' src='http://www.centrale-energie.fr/spip/IMG/arton414.gif?1705058144' width='129' height='150' />
<div class='rss_texte'><p>Vous trouverez en attachement le N°77 de la revue de la Société Française de Physique</p>
<p>Chères lectrices, chers lecteurs,<br class='autobr' />
Le dossier que vous tenez entre vos mains marque une étape inédite dans la production de Refl ets de la Physique. C'est le fruit du travail d'une commission de la Société Française de Physique. Par le passé, notre revue a souvent accueilli des articles ou des numéros spéciaux portant sur des sujets scientifi ques complexes, fortement imbriqués dans des considérations sociétales majeures. Ces thématiques ont toujours suscité des débats animés au sein de notre comité de rédaction, refl étant la diversité d'opinions et de positions philosophiques ou politiques de notre société. Un exemple emblématique reste notre numéro sur le nucléaire civil français, paru en 2019. Cependant, dans tous ces cas antérieurs, l'initiative éditoriale émanait exclusivement de notre comité de rédaction, qui choisissait les sujets et les auteurs en toute autonomie, et ce, dans un large consensus.<br class='autobr' />
Contrairement à ces précédentes démarches, ce dossier a été confié à la commission Énergie de la Société Française de Physique, sous l'égide de son président. Cette responsabilité a impliqué des décisions délicates quant aux sujets, aux auteurs et aux contenus. Il est évident que ce choix est sujet à critique et, comme attendu, il n'a pas fait l'unanimité au sein de notre comité de rédaction. Cependant, il est crucial de souligner que tous les articles que vous découvrirez ont suivi le processus éditorial standard de notre revue. Chaque texte a été soumis à une relecture critique et constructive par plusieurs membres de notre comité, garantissant ainsi la clarté, la pédagogie et la qualité de l'argumentation scientifique. <br class='autobr' />
Ce processus éditorial a eu un impact significatif sur les contenus de ce numéro. Le comité de rédaction de Reflets de la Physique, dans la diversité des opinions et des positions de ses membres, se réjouit du résultat final issu d'un travail éditorial approfondi. Nous vous invitons donc à apprécier la diversité et la qualité des articles pour vous forger votre propre opinion.</p>
<p>Stefano Matthias Panebianco et Charles de Novion<br class='autobr' />
pour le comité de rédaction de Reflets de la Physique</p></div>
Note de veille de l'IESF : Énergie : des efforts sur tous les fronts
http://www.centrale-energie.fr/spip/spip.php?article416
http://www.centrale-energie.fr/spip/spip.php?article4162024-01-21T10:31:22Ztext/htmlfrCentrale Énergies<p>Dans son dernier tour trimestriel de l'actualité, le comité Énergie d'IESF mentionne notamment : les besoins d'investissements dans le monde face au problème de flexibilité des énergies électriques propres, le grand nombre de professionnels à trouver pour assurer la transition énergétique, l'accord européen pour réformer le marché de l'électricité, le défi fixé par la stratégie française de réduire de 40% à 50% la consommation d'énergie d'ici 2050.</p>
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<a href="http://www.centrale-energie.fr/spip/spip.php?rubrique2" rel="directory">Publications</a>
<img class='spip_logo spip_logo_right spip_logos' alt="" style='float:right' src='http://www.centrale-energie.fr/spip/IMG/arton416.jpg?1705833003' width='150' height='76' />
<div class='rss_texte'><p>Dans son dernier tour trimestriel de l'actualité, le comité Énergie d'IESF mentionne notamment : les besoins d'investissements dans le monde face au problème de flexibilité des énergies électriques propres, le grand nombre de professionnels à trouver pour assurer la transition énergétique, l'accord européen pour réformer le marché de l'électricité, le défi fixé par la stratégie française de réduire de 40% à 50% la consommation d'énergie d'ici 2050.</p>
<p><strong>Note de veille du 4ème trimestre 2023</strong><br class='autobr' />
La densité de événements et leur importance dans ce trimestre valent bien un allongement de cette veille. Elle comporte comme d'habitude le trio Monde, Europe, France, très dépendants.<br class='autobr' />
<strong>MONDE : Energies fossiles. La COP 28</strong> Dubaï début décembre a laissé la liberté à l'évolution des énergies fossiles tout en leur recommandant d'accélérer leur diminution, le gaz étant aussi reconnu comme un élément de transition.<br class='autobr' />
<strong>Charbon</strong> : Source Coal 2023, AIE (Agence internationale de l'énergie) 12 décembre : en 2023, la demande devrait encore augmenter de 1,4% pour atteindre 8540 millions de tonnes/an, malgré les fortes baisses en Europe et aux États-Unis de l'ordre de 20% par rapport à 2022, environ 100 millions chacune. Comme d'habitude, ce sont essentiellement la Chine, + 5%, et l'Inde, +8%, qui en sont responsables et ce qui conduit à un nouveau record d'émissions de CO2, +1,2%. L'AIE prévoit néanmoins une stabilisation de la Chine en 2024 et une légère baisse d'ici 2026, 2,3%, grâce à une meilleure production d'hydroélectricité. Mais l'Inde et les pays d'Asie -ASEAN- en sont encore loin. Le prix a néanmoins légèrement baissé mais reste plus haut que celui de l'avant Covid, à cause d'offre plus haute des grands fournisseurs, l'Indonésie, l'Australie, la Russie. Autres sources : En Europe, la Pologne promet l'arrêt total en 2049 avec un déclin lent ; le taux du charbon dans le mix énergétique de l'Allemagne a baissé à 26% par rapport à 31,6% en 2022. La France a décidé- septembre 2023- de convertir ses deux centrales de charbon à la biomasse d'ici 2027.<br class='autobr' />
<strong>Pétrole </strong> : source AIE 14/11/2023 et IFPEN (Institut français du pétole et des énergies nouvelles) 18/12/2023 : La demande pour 2023 est en hausse à hauteur de 102 Mb/jour, causée par la Chine à 17,1Mb/jour en septembre. La demande en 2024 serait encore en hausse de 1%, puis un palier, suivi par une baisse à partir de 2028-2030. L'OPEP contredit ces prévisions ; elle prévoit une hausse continue jusqu'en 2045, ou plus, à 116Mb/d, pour répondre aux besoins des pays non OCDE et particulièrement de l'Inde. La production suit, malgré les restrictions imposées par l'OPEP et la Russie, grâce aux États-Unis. Suite à la baisse significative du prix au quatrième trimestre, 75$/bbl au lieu de 95, fin du troisième trimestre, l'OPEP et la Russie ont décidé de diminuer encore les quotas ; à noter une légère remontée le 20 décembre, liée à l'intensification des attaques de drones des Houthis sur les pétroliers et autres navires se dirigeant sur le canal de Suez. NB. : guerres, sanctions, quotas : sans eux, on aurait des excédents ; exemple de la fragilité des prévisions : début septembre, l'AIE prévoyait « une importante pénurie de l'offre ». A noter le record de production des États-Unis pour 2023, plus de 13Mbb, grâce au pétrole de schistes, compensant les diminutions de l'OPEP et de la Russie<br class='autobr' />
<strong>Gaz nature</strong>l : Sources diverses AIE, Cedigaz, Global Gas Outlook, IFPEN. Selon l'AIE, le gaz naturel devrait trouver son pic avant 2030, après l'avoir fixé à 2035. Le marché du gaz naturel a été très volatil et le reste encore ; la ressource ne manque pas, mais les risques aléatoires non plus : le géopolitique, le climat, les sabotages de gazoducs, etc. Le gaz naturel liquéfié se développe rapidement pour remplacer des fournitures par gazoduc, surtout à partir des États-Unis, avec possibilité d'être en retard d'ici 2026, fin d'installations d'infrastructures très importantes. Cette volatilité se voit encore plus dans les prix de gros ; exemple européen : le prix proposé le 21/12/2022 pour 2024 était de 80€/Mwh ; celui proposé le 24/11/ 2023 pour 2024 de 32€/Mwh. Pour l'Europe, les stocks pleins pour traverser les besoins hivernaux et un quatrième trimestre relativement doux vont probablement éviter le risque de blackout ; par ailleurs, son prix reste le chef d'orchestre de celui de l'électricité de gros pour 10 ans.<br class='autobr' />
<strong>Energies propres</strong> :<strong> World energy outlook</strong> ; AIE 2023 présentée début octobre : si la COP 28 n'a pas suivi à la lettre, cette étude approfondie l'y a aidée. Selon l'AIE, pour atteindre le 1,5°C en 2050, il faudrait que les énergies électriques propres contribuent à 8O% des besoins, dont 50% le solaire. NB : l'éolien n'est pas cité. Mais la tendance des STEPS- scénarios de politiques déclarées-en est très loin. Il faut donc investir plus dans les réseaux et les batteries répondant aux problèmes de flexibilité, et dans toutes les autres énergies propres pour les flexibilités à court terme et aux variations saisonnières : hydroélectrique, nucléaire, les combustibles fossiles soutenus par les CCUS (captage, utilisation et stockage du carbone), la biomasse et l'hydrogène. Précision : pour les CCUS, la réserve de projet est de 400 millions de tonnes de captage de CO2 opérationnels d'ici 2030, et pour l'hydrogène, électrolytique de 400GW. 118 pays sur 198 se sont engagés à multiplier par trois les capacités des énergies renouvelables d'ici 2030 comme recommandé par l'AIE ; 2O pays se sont engagés à multiplier par 3 les capacités du nucléaire d'ici 2050.<br class='autobr' />
<strong>Sociétal</strong> : Echos octobre : transition énergétique : 7 millions de professionnels à trouver, dont 55% pour les États-Unis et la Chine. Pour la France, 130.000 ; 10% de très haut niveau, 50% de formation sur 2 à 3 ans, solaire 44%, éolien 24%, bio 17,5%. Aujourd'hui 130.000<br class='autobr' />
<strong>EUROPE</strong> : <strong>Réforme du marché de l'électricité. </strong> Présentée en mars 2023, cette réforme a trouvé un accord entre les ministres européens en octobre après une bataille serrée entre l'Allemagne et la France, l'Allemagne ne voulant pas que le nucléaire bénéficie de son coût sur l'électricité, par rapport au sien. La France a eu gain de cause. Le conseil de l'Union européenne et le parlement l'ont ratifié le 14 décembre, avec une version visant à rendre le prix de l'électricité moins dépendant des prix volatils des énergies fossiles, surtout du gaz. La France a obtenu que son parc nucléaire soit couvert dans le texte. Au coeur de l'accord, les « contrats par différence » - les CFD-, passés entre les producteurs et les Etats. L'Etat intervient et comble la différence si le prix du marché tombe en dessous d'un prix convenu ; s'il est plus élevé au-dessus d'un prix convenu, le surplus revient à l'Etat ; d'où une plus grande stabilité pour le consommateur. Pendant ce temps, l'Allemagne décidait d'accorder 12 milliards d'aides aux industries très consommatrices, pour devancer la France, réduits par deux quelques semaines plus tard, pour équilibrer le budget national.<br class='autobr' />
<strong>FRANCE : Stratégie française pour l'énergie et le climat (SPEC) </strong> : Elle inclut la SNBC, Stratégie Nationale Bas Carbone, la PPE, programmation Pluriannuelle de l'Energie, et la PNACC, Plan National d'Adaptation au Changement Climatique. Trois défis sont à atteindre par la nouvelle SPEC : Réduire de 40 à 50% la consommation d'énergie d'ici 2050, disparition du charbon pour la production électrique d'ici 2027 avec le zéro carbone et de la dépendance aux énergies fossiles en 2050, enfin +10% de production électrique en 2030, puis 55% en 2050, doublement de la chaleur bas carbone en 2035. Elle a 5 objectifs : baisse de la consommation, augmentation des énergies décarbonées, adaptation des réseaux, garantir la sécurisation d'approvisionnements, préserver le pouvoir d'achat et la compétitivité. Les trois piliers de la SPEC ont été mises en consultation ce trimestre.<br class='autobr' />
<strong>Le nucléaire</strong> : le nucléaire est enfin reconnu dans le monde et l'Europe ; le Conseil européen vient d'introduire le nucléaire dans le NZIA-Net Zéro Industry Act, lui permettant d'être traité comme les autres technologies. Le gouvernement s'intéresse au développement des SMR -Small and Medium Reactor- en aidant 8 « start-up », tout en favorisant les SMR Nuward. Les douze membres de l'association des pays européens nucléaristes, avec Israël, ont appelé la Commission européenne à créer une alliance industrielle, pour une production électrique dès 2030 ; elle est déjà favorable aux SMR et au développement de la quatrième génération. Un SMR alimentant les électrolyseurs à haute température permettent un gain économique de 20 à 30%, grâce à leur chaleur fatale. Orano signe un contrat stratégique avec la Mongolie sur l'uranium et les métaux rares dont le lithium, et le BRGM (Bureau de recherches géologiques et minières).<br class='autobr' />
Question : Faut-il croire que les mini-chaudières de Nukathom peuvent remplacer les chaudières au fuel ou aux gaz des immeubles ?<br class='autobr' />
<strong>La chaleur </strong> : Plan de développement pour la chaleur renouvelable, métropole et outre-mer, dont stockage souterrain d'eau chaude de haute température, produite par le voltaïque excédentaire en été, chaleur destinée aux besoins hivernaux. Première centrale en Gironde. Projet majeur pour l'Ile de France, 15 milliards d'euros. Début, l'inauguration d'une centrale géothermique à St-Denis pour le village des athlètes des Jeux Olympiques.<br class='autobr' />
<strong>L'Éolien</strong> : accélération des projets terrestres, dû à l'Etat, qui a indexé les prix contrats à l'inflation. 54 dossiers ont été retenus pour une puissance de331MW, s'ajoutant aux mille MW retenus en début d'année ; le prix, en forte hausse, est de 86,94/MWh moyen ; NB : ce qui va lui faire dépasser le coût nucléaire, en tenant compte des nombreux investissements des infrastructures, de 15% de l'intermittence et du stockage. 2 projets flottants sont en examen, pour une puissance de 750MW chacun, pour une décision en 2024 et un démarrage en 2032. L'ensemble conduira à un doublement en 2035, mais pas au triplement demandé. La situation européenne est plus grave, provoquée par l'inflation, non indexée, et la hausse importante des matériaux ; le prix moyen de l'éolien terrestre est passé de 2,4 millions d'euros par éolien, à 3,2 millions. En Grande-Bretagne, c'est encore pire pour le flottant, + 66%.<br class='autobr' />
<strong>Nouvelles technologies </strong> : Stockage hydrogène sous forme solide, prix de l'invention européenne 2023, CNRS Grenoble ; projet France et Norvège, chaleur et navigation, et au Maroc pour stockage chaleur. Verre fluoré faisant passer le taux de transmission de15% à 80% dans la fibre ; société bretonne, Le Verre Fluoré, équipe de recherche Strasbourg et Sétif, Algérie ; commercialisation en cours. Lasure autonettoyante à nanoparticules, supprimant les besoins de nettoyage des panneaux solaires en permettant d'éviter que les nanoparticules se rassemblent et deviennent visibles, et donc d'avoir de meilleurs résultats que les autres lasures ; inventeur Stéphane Danièle, université Claude-Bernard à Lyon. Commercialisation en démarrage par Neoformula, filiale de Cap Trading, Rhône.</p>
<p> <i> Bruno Wiltz, vice-président du comité Énergie, 25/12/2023</i></p></div>
Piloter un producteur international d'énergies renouvelables. 6/02/24
http://www.centrale-energie.fr/spip/spip.php?article415
http://www.centrale-energie.fr/spip/spip.php?article4152024-01-15T22:37:37Ztext/htmlfrCentrale ÉnergiesRenouvelablesConférence<p>Mardi 6 février</p>
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<a href="http://www.centrale-energie.fr/spip/spip.php?rubrique4" rel="directory">Conférences</a>
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<a href="http://www.centrale-energie.fr/spip/spip.php?mot5" rel="tag">Renouvelables</a>,
<a href="http://www.centrale-energie.fr/spip/spip.php?mot9" rel="tag">Conférence</a>
<img class='spip_logo spip_logo_right spip_logos' alt="" style='float:right' src='http://www.centrale-energie.fr/spip/IMG/arton415.jpg?1705413712' width='150' height='105' />
<div class='rss_texte'><p>* Conférence-Débat * des Groupes Centrale-Energies et SciencesPo Energie, Infrastructure et Mobilité</p>
<p>Mardi 6 février 2024 au Village By CA (Paris)</p>
<p><span class='spip_document_1228 spip_documents spip_documents_left' style='float:left;'>
<img src='http://www.centrale-energie.fr/spip/local/cache-vignettes/L90xH129/logo_sciencespo_ce_reduit-678d3.jpg?1705344875' width='90' height='129' alt="" /></span><strong>Sébastien Clerc</strong>, Directeur Général de VOLTALIA<br class='autobr' />
<i>Depuis 2011, <strong>Sébastien CLERC</strong> est DG de VOLTALIA, producteur d'énergies devenu sous sa direction un acteur intégré actif du solaire, de l'éolien, de l'hydroélectricité, de la biomasse et du stockage dans 20 pays. Il a piloté en 2014 l'introduction en bourse de VOLTALIA, qui a dépassée en 2023 ses objectifs de croissance.</i></p>
<p>Nous avons abordé avec lui l'évolution de l'industrie des renouvelables et les perspectives pour 2024. Il nous parlera des défis de passer d'une activité principalement française à une présence internationale et ce qu'implique le pilotage d'une entreprise à mission.</p>
<p>Notre intervenant a répondu également aux questions que vous vous posez.</p>
<p>Vous trouverez ci-joint les diapos de la présentation de notre orateur</p></div>
Renoncer aux combustibles fossiles, une nécessité, mais quel défi ! 11/01/24
http://www.centrale-energie.fr/spip/spip.php?article413
http://www.centrale-energie.fr/spip/spip.php?article4132023-12-12T14:43:26Ztext/htmlfrCentrale ÉnergiesConférenceFossiles
<p>* Conférence-Débat * des Groupes Centrale Nantes Alumni Ile de France et Centrale-Energies <br class='autobr' />
Jeudi 11 janvier 2024 à 19h, à l'Hôtel Bedford <br class='autobr' />
Atteindre l'objectif de la neutralité carbone en 2050 imposera une réduction drastique de notre consommation de combustibles fossiles, qui représentent pourtant aujourd'hui notre source d'énergie principale. L'électrification de nouveaux usages, jointe au déploiement de sources d'électricité bas-carbone, la réduction de la consommation par des gains en efficacité (...)</p>
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<a href="http://www.centrale-energie.fr/spip/spip.php?rubrique4" rel="directory">Conférences</a>
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<a href="http://www.centrale-energie.fr/spip/spip.php?mot9" rel="tag">Conférence</a>,
<a href="http://www.centrale-energie.fr/spip/spip.php?mot2" rel="tag">Fossiles</a>
<img class='spip_logo spip_logo_right spip_logos' alt="" style='float:right' src='http://www.centrale-energie.fr/spip/IMG/arton413.jpg?1702392165' width='150' height='85' />
<div class='rss_texte'><p><strong>* Conférence-Débat * des Groupes Centrale Nantes Alumni Ile de France et Centrale-Energies</strong></p>
<p>Jeudi 11 janvier 2024 à 19h, à l'Hôtel Bedford</p>
<p>Atteindre l'objectif de la neutralité carbone en 2050 imposera une réduction drastique de notre consommation de combustibles fossiles, qui représentent pourtant aujourd'hui notre source d'énergie principale. <br class='autobr' />
L'électrification de nouveaux usages, jointe au déploiement de sources d'électricité bas-carbone, la réduction de la consommation par des gains en efficacité énergétique, et la mise en œuvre de mesures de sobriété, sont les leviers envisagés dans les différents scénarios. <br class='autobr' />
Mais face à l'énormité du défi et à ses dimensions planétaires, au rôle essentiel de l'énergie dans l'économie et le développement des sociétés humaines, un examen objectif et lucide des contraintes et des limites physiques de ces leviers est indispensable. <br class='autobr' />
Dans cet exposé nous expliquons ainsi pourquoi les sources renouvelables seules ne peuvent suffirent, et pourquoi le recours à l'énergie nucléaire s'avère absolument indispensable ... si l'on veut relever le défi du siècle !</p>
<p><strong>Gérard BONHOMME</strong> <i>est Professeur émérite de l'Université de Lorraine, ingénieur de Centrale Nantes et Docteur ès Sciences. Son investissement professionnel dans le domaine de l'énergie (instabilités et trubulences des plasmas, fusion nucléaire par confinement magnétique en collaboration internationale) et son intérêt plus global pour la thématique de l'Energie et de son impact sur le développement des sociétés humaines et l'économie, s'était déjà concrétisé par un enseignement à Sciences Po (campus de Nancy). Cela l'a ensuite conduit en 2016 à accepter de présider la "Commission Énergie de la Société Française de Physique" dont il est toujours le Président aujourd'hui. Gérard est aussi membre de l'Energy Group de la "European Physical Society". </i></p>
<p>Notre intervenant a répondu également aux questions posées.</p>
<p><a href="https://youtu.be/SSokqX2FxPU" class='spip_out' rel='external'>Et voici la vidéo de la conférence</a> :</p>
<p>Et vous trouverez en attachement les diapos utilisées par G Bonhomme.</p>
<p>Vous trouverez aussi en attachement le numéro spécial N°77 de février 2024 de la revue de la SFP <i>Reflets de la Physique</i> sur la transition énergétique : les défis de la fossilisation. Ce dossier spécial sur l'énergie marque l'aboutissement d'un travail de longue haleine mené au sein de la commission Énergie & Environnement de la SFP. présidé par G. Bonhomme</p></div>
Etat des lieux et perspectives de la comptabilité carbone des entreprises. 5/12/23
http://www.centrale-energie.fr/spip/spip.php?article412
http://www.centrale-energie.fr/spip/spip.php?article4122023-12-08T17:27:00Ztext/htmlfrCentrale ÉnergiesGestion économique et environnementaleConférence<p>Etat des lieux et perspectives de la comptabilité carbone des entreprises 5/12/23</p>
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<a href="http://www.centrale-energie.fr/spip/spip.php?rubrique4" rel="directory">Conférences</a>
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<img class='spip_logo spip_logo_right spip_logos' alt="" style='float:right' src='http://www.centrale-energie.fr/spip/IMG/arton412.jpg?1700125273' width='150' height='128' />
<div class='rss_texte'><h3 class="spip">Conférence-débat des groupes professionnels Centrale-Energies et X-Environnement
</h3>
<p><strong>Mardi 5 décembre 2023 à 19h - Au Village by CA (Paris)</p>
<p>A l'approche de l'entrée en vigueur de la CSRD (Corporate Sustainability Reporting Directive), le nombre d'entreprises pour lesquelles un plan de décarbonation est attendu est en croissance significative. 10.000 entreprises étaient concernées par la Déclaration de Performance Extra-Financière, 50.000 le seront par la nouvelle directive. La comptabilité est une étape initiale clé qui conditionne la pertinence de la stratégie de décarbonation. Notamment, le scope 3 représentant en moyenne 80% du bilan carbone d'une entreprise, l'exhaustivité du périmètre pris en compte, la granularité du calcul et la qualité de la présentation des résultats de ce scope sont des facteurs clés de succès pour tracer une feuille de route bas carbone.<br class='autobr' />
Nous ferons dans cette table ronde un état des lieux de la comptabilité bas carbone, les bonnes pratiques à anticiper pour faciliter la conception de la feuille de route bas carbone, notamment sur la décarbonation du Scope 3 en passant par la fonction achats.</p>
<p><i>• Philippe Lauret, président de l'APCC (Association des Professionnels en Conseil Climat Energie et Environnement) et d'Enooia. Il accompagne ses clients sur leur bilan carbone, la définition d'une démarche SBTi (Science Based Target Initiative) et utilise la méthodologie ACT (Assessing Low Carbon Transition®) pas à pas pour la conception de stratégie bas carbone. Au sein de l'APCC il anime une communauté de professionnels de la comptabilité bas carbone cherchant à optimiser l'utilité de cet exercice.<br class='autobr' />
• Joris Blain de La Société Nouvelle nous apportera une analyse de la fiabilité des données de départ et des chiffres calculés, et de la transposition des principes et méthodes au suivi d'un variété d'objectifs environnementaux, économiques et sociaux</i></p>
<p>Nos intervenants ont répondu aux questions que vous vous posez</p>
<p><a href="https://youtu.be/1Pagg4j5nFQ" class='spip_out' rel='external'>Et voici la vidéo de la conférence :</a></p>
<p>Et vous trouverez en attachement une présentation de J Blain (La Société Nouvelle) sur les Calculs d'empreintes : fiabilité et comparabilité.</p></div>
Prix du carbone : comment utiliser au mieux ce signal prix pour orienter les décisions des acteurs économiques ? 26/09/2023
http://www.centrale-energie.fr/spip/spip.php?article407
http://www.centrale-energie.fr/spip/spip.php?article4072023-08-25T14:25:15Ztext/htmlfrCentrale ÉnergiesConférenceGestion économique et environnementale<p>Prix du carbone : comment utiliser au mieux ce signal prix pour orienter les décisions des acteurs économiques ? 26/09/2023</p>
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<a href="http://www.centrale-energie.fr/spip/spip.php?rubrique4" rel="directory">Conférences</a>
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<a href="http://www.centrale-energie.fr/spip/spip.php?mot9" rel="tag">Conférence</a>,
<a href="http://www.centrale-energie.fr/spip/spip.php?mot3" rel="tag">Gestion économique et environnementale</a>
<img class='spip_logo spip_logo_right spip_logos' alt="" style='float:right' src='http://www.centrale-energie.fr/spip/IMG/arton407.png?1692973661' width='150' height='75' />
<div class='rss_texte'><p>* Conférence-Débat * des Groupes Professionnels Centrale-Energies et HEC Transition</p>
<p>2014, 74 pays dont la France et plus de 1000 entreprises forment une coalition pour le prix du carbone. Il doit aider aussi bien les Etats que les entreprises vers les investissements les plus efficaces pour le climat (au sens de coût par tonne de CO2 évitée).</p>
<p>Mis sous les feux des projecteurs en 2018 lors de la crise des gilets jaunes, les questions de la forme que doit prendre ce prix (Taxe ? Quota ? Réglementation ?), son montant, la coordination internationale, la réponse des entreprises et consommateurs… fait débat.</p>
<p>Avec nos intervenants nous avons vu l'histoire du prix du carbone, ses formes… et nous avons discuté de comment les entreprises y ont répondu et les outils existants pour s'y adapter.</p>
<p><i> <strong>Emilie Alberola, managing director - EcoAct (Atos)</strong><br class='autobr' />
Emilie Alberola est titulaire d'un doctorat de l'université Panthéon-Sorbonne sur l'EU ETS. Elle a été enseignante à Paris-Dauphine sur les questions de marché du carbone, a piloté des études au sein d'I4CE sur l'analyse d'impact des politiques publiques, avant de rejoindre EcoAct. Elle y dirige un projet d'outil de prise en compte du prix du carbone pour les décisions d'investissement, à destination de ses clients<br class='autobr' />
<strong>Jérémie Benhamou, adjoint au chef de bureau Marché Carbone - DGEC</strong><br class='autobr' />
Jérémie Benhamou est diplômé de l'École des Mines de Paris. Il a travaillé sur les questions d'économie de l'énergie au sein de RTE, puis comme consultant en stratégie chez Enea Consulting. Au sein de la Direction Générale de l'Energie et du Climat, il est aujourd'hui chargé des questions autour des quotas carbone européens..</i></p></div>
BONVAN la révolution du petit éolien
http://www.centrale-energie.fr/spip/spip.php?article408
http://www.centrale-energie.fr/spip/spip.php?article4082023-07-01T13:25:38Ztext/htmlfrCentrale ÉnergiesRenouvelables
<p>CONTRIBUER À UN PROJET CENTRALIEN <br class='autobr' />
Loris Goyet (ECL22) et Benjamin GRAUX (ECL22) sont ravis de vous annoncer le lancement de Bonvan, une entreprise innovante qui propose des éoliennes en kit pour particuliers. Ce projet a été initié pour notre Projet d'Etudes : création d'une entreprise virtuelle et après un an de travail acharné, nous sommes fiers de vous présenter notre solution durable qui va transformer la manière dont nous produisons et consommons de l'énergie. <br class='autobr' />
Avec Bonvan, vous pouvez installer, (...)</p>
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<a href="http://www.centrale-energie.fr/spip/spip.php?rubrique2" rel="directory">Publications</a>
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<a href="http://www.centrale-energie.fr/spip/spip.php?mot5" rel="tag">Renouvelables</a>
<img class='spip_logo spip_logo_right spip_logos' alt="" style='float:right' src='http://www.centrale-energie.fr/spip/IMG/arton408.png?1688049735' width='150' height='150' />
<div class='rss_texte'><h3 class="spip"><strong>CONTRIBUER À UN PROJET CENTRALIEN</strong></h3>
<p>Loris Goyet (ECL22) et Benjamin GRAUX (ECL22) sont ravis de vous annoncer le lancement de Bonvan, une entreprise innovante qui propose des éoliennes en kit pour particuliers.<br class='autobr' />
Ce projet a été initié pour notre Projet d'Etudes : création d'une entreprise virtuelle et après un an de travail acharné, nous sommes fiers de vous présenter notre solution durable qui va transformer la manière dont nous produisons et consommons de l'énergie.</p>
<p>Avec Bonvan, vous pouvez installer, vous même, une éolienne dans votre jardin en moins de 30 minutes, sans le dénaturer. Nos éoliennes, d'une puissance de 1kW et déplaçables car dotées d'un socle hors sol, constitueront votre premier pas vers l'autonomie énergétique !</p>
<p><span class='spip_document_1196 spip_documents spip_documents_left' style='float:left;'>
<img src='http://www.centrale-energie.fr/spip/local/cache-vignettes/L480xH478/photo_trophee-2b23f.jpg?1688050223' width='480' height='478' alt="" /></span>Le projet est sur une lancée plus qu'encourageante ! En effet, nous avons remporté le prix du public au concours d'entrepreneuriat « Campus Création », et, soutenus par l'école Centrale de Lyon, nous le conduirons l'année prochaine en Projet d'Application.</p>
<p>C'est maintenant que nous faisons appel à vous !</p>
<p>Afin de poursuivre notre développement, nous lançons une cagnotte de 10 000€. Votre contribution nous aidera à réaliser le prototypage et les tests nécessaires pour garantir l'efficacité et la fiabilité de notre éolienne.<br class='autobr' />
Nous tenons à remercier par avance chaleureusement nos donateurs, c'est pourquoi, tous seront tenus au courant des avancés du projet et auront un accès exclusif aux précommandes de notre produit !</p>
<p>Votre soutien est essentiel pour concrétiser notre objectif d'apporter une énergie verte accessible à tous. Pour participer à notre <a href="https://lnkd.in/dKH4EfpT" class='spip_out' rel='external'>cagnotte</a>, rendez-vous sur <a href="https://lnkd.in/dKH4EfpT" class='spip_url spip_out auto' rel='nofollow external'>https://lnkd.in/dKH4EfpT</a> . Chaque contribution, même minime, compte.</p>
<p>Nous vous remercions grandement pour votre aide et votre engagement en faveur de l'énergie verte. Ensemble, nous pouvons faire la différence dans la transition énergétique.</p>
<h3 class="spip"><strong>MARCHÉ ET CONTEXTE</strong></h3>
<p>En cette période de transition énergétique où les énergies vertes sont en passe deremplacer les énergies fossiles, nous faisons face à des risques de pénurie.<br class='autobr' />
Pour les pallier , les foyers français souhaitent faire des économies et avancer vers l'autonomie énergétique. Ce désir se traduit par une forte augmentation des installations de panneaux solaires chez les particuliers qui sont passés de 3000 en 2015 à 110 000 en 2021.<br class='autobr' />
L'éolien n'a rien à envier aux panneaux solaires. En effet, le parc éolien français a produit 34,1TWh en 2019 contre 11,6TWh four le solaire.</p>
<p>En 2019, 58% des foyers français possèdent un jardin, tandis que 33% sont situés en zone rurale. De plus, la mobilité de nos éoliennes offre une opportunité sans égal aux personnes locataires, représentant 36% de la population française. Leur éolienne sera aisément transportable d'une adresse à une autre.</p>
<p>Cependant, les aides accordées pour l'installation de panneaux solaires ont freiné les ventes d'éoliennes domestiques. Celles-ci sont devenues trop chères par rapport au photovoltaïque lorsqu'elles sont vendues par des professionnels.<br class='autobr' />
De plus, le marché des éoliennes en kit (prix beaucoup plus compétitifs) n'a pas su s'imposer et en cherchant sur Internet on comprend pourquoi. Les kits sont proposés sur des sites qui inspirent peu confiance, les explications sont minimales, les kits ne sont pas complets et souvent de basse qualité. Pour résumer, seuls les plus bricoleurs s'y aventurent.</p>
<h3 class="spip"><strong>NOTRE PRODUIT</strong></h3>
<p>Bonvan propose des éoliennes, d'une puissance de 1kW, à axe horizontal en kit pour particuliers. Celles-ci ont la particularité d'être mobiles.<br class='autobr' />
Nos éoliennes sont constituées de pièces de qualité. Elles émettent très peu de bruit, leséoliennes horizontales émettent jusqu'à 40 dB c'est-à-dire le bruit d'un réfrigérateur. Elles ont un design soigné (et il sera possible de suivre leur production grâce à une application connectée à l'éolienne.)<br class='autobr' />
Ces éoliennes se distinguent de celles vendues sur le marché par leur<br class='autobr' />
facilité de montage et d'entretien. En effet, notre produit est installable en moins de 30 minutes et l'entretien est expliqué simplement sur le mode d'emploi ou via des vidéos explicatives.<br class='autobr' />
De plus, si une pièce est abîmée nous proposons des pièces de remplacement à la vente et nous vendons des kits d'entretien.</p>
<p>Nos éoliennes sont maintenues par un socle hors-sol qui permet aux clients de ne pas bétonner et de déplacer l'éolienne quand ils le souhaitent. Ces socles sont constitués de 4parties qu'il suffit d'assembler et de remplir d'eau pour maintenir l'éolienne.<br class='autobr' />
Nos éoliennes sont installées sur un mât (télescopique) qui permet aux utilisateurs de faire varier la hauteur de 2 à 6 mètres.<br class='autobr' />
Une éolienne de 1kW produit entre 2000kWh et 4000kWh par an tandis que la consommation annuelle moyenne d'un foyer est de 4 679 kWh. Pour une maison de 100 m²,cette consommation se situe entre 9 350 kWh (bonne isolation) et 13 650 kWh (mauvaise isolation). Au prix actuel du kWh d'électricité, l'éolienne vous fera<br class='autobr' />
économiser en moyenne619€ par an en plus de vous apporter de l'autonomie énergétique.<br class='autobr' />
Le produit est dimensionné tel qu'il puisse assurer la sécurité du client tout en optimisant la production de l'éolienne. Son kit, rapide et facile d'assemblage, respecte la promesse faite.</p>
<p>Vous trouverez plus d'infos sur la<a href="https://lnkd.in/d8Ecjz83" class='spip_out' rel='external'>plaquette de présentation</a> , n'hésitez surtout pas à nous contacter si vous avez la moindre question. (nos contacts sont sur la plaquette)</p></div>
TRANSITION ENERGETIQUE et PENURIE d'ELECTRICITE
http://www.centrale-energie.fr/spip/spip.php?article409
http://www.centrale-energie.fr/spip/spip.php?article4092023-06-29T17:25:00Ztext/htmlfrAlain Argenson (ECN 62)Gestion économique et environnementaleNucléaire
<p>Lorsqu'il a été décidé d'abandonner, avec juste raison les énergies fossiles, avons-nous bien eu conscience de l'énorme défi qui attendait la France et avec elle l'Europe ? Abandonner les énergies fossiles c'est se tourner principalement vers l'électricité aussi bien pour la mobilité que pour une partie du chauffage. Pourrons-nous d'ici 2050 convertir tous les chauffages au gaz (11 millions) et au fioul (3 millions) à l'électricité (pompe à chaleur notamment) ? Auxquels il faut ajouter 45 millions de (...)</p>
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<a href="http://www.centrale-energie.fr/spip/spip.php?rubrique2" rel="directory">Publications</a>
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<a href="http://www.centrale-energie.fr/spip/spip.php?mot3" rel="tag">Gestion économique et environnementale</a>,
<a href="http://www.centrale-energie.fr/spip/spip.php?mot4" rel="tag">Nucléaire</a>
<img class='spip_logo spip_logo_right spip_logos' alt="" style='float:right' src='http://www.centrale-energie.fr/spip/IMG/arton409.jpg?1688220281' width='150' height='101' />
<div class='rss_texte'><p>Lorsqu'il a été décidé d'abandonner, avec juste raison les énergies fossiles, avons-nous bien eu conscience de l'énorme défi qui attendait la France et avec elle l'Europe ? Abandonner les énergies fossiles c'est se tourner principalement vers l'électricité aussi bien pour la mobilité que pour une partie du chauffage. Pourrons-nous d'ici 2050 convertir tous les chauffages au gaz (11 millions) et au fioul (3 millions) à l'électricité (pompe à chaleur notamment) ? Auxquels il faut ajouter 45 millions de véhicules ?</p>
<p>En 2019 la France a consommé en énergie finale 100,3Mtep (1 166TWh) de charbon, pétrole et gaz et 431TWh d'électricité. Le passage au tout électrique aura l'avantage d'un meilleur rendement surtout pour la mobilité. Combien faudra-t-il produire d'électricité ? Quelle sera la consommation en 2050 ? les estimations varient de 468TWh dans le scénario frugalité de l'ADEME, entre 555 à 754TWh pour RTE et même 1 000TWh pour certains.</p>
<p>RTE dans son étude en cours de réactualisation pour 2035 estime la consommation dans le scénario mondialisation contrariée à 500/550 TWh et jusqu'à 580/640TWh en situation normale.</p>
<p>Les centrales nucléaires existantes vieillissent et même prolongées jusqu'à 60 ans elles commenceront à s'arrêter à partir de 2040 et en 2050 il ne restera plus que 13,6GW en service. La dernière s'arrêtera en 2060 si la prolongation ne va pas au-delà de 60 ans (<a href="http://www.centrale-energie.fr/spip/IMG/pdf/flash_centrales_energies_84_nucleaire_rte-cd-aa-v_finale_5_ter.pdf">cf. notre flash 84</a>). A consommation constante il faut donc d'ici 2050 remplacer 47,6 GW soit l'équivalent de 30 EPR2 de 1,65GW et 9 EPR2 supplémentaires pour 2060. Les 6 EPR2 proposés par le Président, d'une puissance totale de 9,9GW, sont donc insuffisants. Si l'on continue avec le nucléaire il faut un programme total de 39 EPR ou l'équivalent en SMR (Small Modular Réactor) et ceci pour produire seulement l'équivalent de notre production nucléaire actuelle. Or tous les scénarios prévoient une augmentation de la consommation électrique.</p>
<p>Le nucléaire seul est insuffisant pour assurer la fourniture d'électricité en 2050 et peut nous conduire à une pénurie d'électricité étant donné les délais de réalisation.</p>
<p><strong>Il est indispensable de développer la sobriété, l'efficacité énergétique et les énergies renouvelables.</strong></p>
<p>Dans le scénario le plus nucléarisé de RTE (<a href="http://www.centrale-energie.fr/spip/IMG/pdf/flash_centrales_energies_84_nucleaire_rte-cd-aa-v_finale_5_ter.pdf">cf. notre flash 84</a>) avec seulement 16 EPR2, soit 27 GW, et 24 GW de nucléaire historique, impliquant le prolongement au-delà de 60 ans de quelques réacteurs actuels, il est prévu pour 2050, l'installation de 70GW de solaire soit 350km² de panneaux (15,7GW fin 2022), 43 GW d'éolien terrestre soit 10 000 éoliennes d'environ 4GW (20,6GW fin 2022) et 22GW d'éolien en mer soit 2 200 éoliennes de10GW (0,48GW fin 2022). Sans nucléaire mais et avec une très forte dose de sobriété il faut au moins multiplier ces estimations par deux.</p>
<p>En parallèle de l'électricité il faut aussi développer le gaz renouvelable : méthanisation, hydrogène-méthanation.</p>
<p><strong>Les citoyens ne sont pas conscients de l'ampleur de ce déploiement sur l'ensemble du territoire. </strong></p>
<p>La loi d'accélération des énergies renouvelables a introduit des freins qui ne vont pas faciliter ces installations.</p>
<p>Il est temps de s'y mettre sérieusement et foin des débats entre nucléaire et renouvelables. Il faut les 2 et une bonne dose de sobriété. Il est nécessaire que les politiques expliquent pourquoi.</p>
<p>Pour développer massivement le solaire l'on ne peut pas compter uniquement sur les toitures. Il faut aussi construire des parcs photovoltaïques au sol tout en évitant le gigantisme et en respectant les règles environnementales. L'éolien demande beaucoup moins de surface au sol que le solaire et doit être massivement installé contrairement à la pensée présidentielle.</p>
<p>Le kWh renouvelable est de l'ordre de 5/7c€/kWh soit 2 fois moins cher que le kWh des EPR. Il faut évidemment développer le stockage soit avec des batteries et/ou de l'hydrogène. Le moins cher serait d'installer quelques STEP (station de transfert d'énergie par pompage turbinage)</p>
<p>Le réseau électrique doit également être renforcé et développé pour accueillir ces productions décentralisées.</p>
<p><strong>Ce défi est immense et nos politiques doivent s'en saisir sans esprit partisan. L'on est devant une réalité incontournable.</strong></p>
<p>Au rythme actuel d'installation de nouvelles capacités de production électrique, la France risque de manquer d'électricité à partir de 2035 si les centrales nucléaires existantes ne peuvent pas être prolongées au-delà de 50 ans. La France devra donc comme en 2022 importer massivement de l'électricité des pays voisins et principalement d'Allemagne, qui continuera avec ses centrales à lignite et à gaz, notamment de schiste importé des USA.</p>
<p>Allons-nous enfin expliquer cette programmation de notre souveraineté énergétique à l'occasion de la loi de programmation pluriannuelle de l'énergie ?</p>
<p>Pour finir il faut noter que notre déficit commercial est très fortement pénalisé par nos importations de produits pétroliers (70% du déficit en 2022).</p></div>
Quel avenir pour la ville ? Qu'en disent les centraliens ?
http://www.centrale-energie.fr/spip/spip.php?article410
http://www.centrale-energie.fr/spip/spip.php?article4102023-06-29T17:25:00Ztext/htmlfrEtienne Vekemans (ECLi 89)Bâtiment, urbanisme
<p>Pour éclairer notre propos, nous reviendrons sur deux livres publiés récemment : <br class='autobr' />
« La ville stationnaire » de Ph. Bihouix (ECP96) ou comment mettre fin à l'étalement urbain ? (Actes Sud) <br class='autobr' />
« La ville machine » de J. Ferrier (ECP81) ou comment se libérer de l'emprise technologique (L'Herne) <br class='autobr' />
Les constats sont sévères, jugez-en : <br class='autobr' />
Pour Jacques Ferrier, <br class='autobr' />
L'épreuve pandémique que nous traversons a révélé l'incapacité des villes à prendre soin de leurs habitants. À partir de ce constat, cet essai interroge le (...)</p>
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<a href="http://www.centrale-energie.fr/spip/spip.php?rubrique2" rel="directory">Publications</a>
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<a href="http://www.centrale-energie.fr/spip/spip.php?mot1" rel="tag">Bâtiment, urbanisme</a>
<div class='rss_texte'><p>Pour éclairer notre propos, nous reviendrons sur deux livres publiés récemment :</p>
<p><i>« La ville stationnaire » de Ph. Bihouix (ECP96) ou comment mettre fin à l'étalement urbain ? (Actes Sud)</p>
<p>« La ville machine » de J. Ferrier (ECP81) ou comment se libérer de l'emprise technologique (L'Herne)</i></p>
<p><strong>Les constats sont sévères</strong>, jugez-en :</p>
<p><strong><a href="https://www.editionsdelherne.com/publication/la-ville-machine" class='spip_out' rel='external'><i>Pour Jacques Ferrier,</a></p>
</h3>
<p>L'épreuve pandémique que nous traversons a révélé l'incapacité des villes à prendre soin de leurs habitants. À partir de ce constat, cet essai interroge <strong>le rôle prépondérant qu'a pris la technique</strong> dans nos vies métropolitaines, et envisage la crise sanitaire comme une occasion de remettre l'humain au centre du projet urbain. Des transports de masse à la climatisation, des appareils ménagers aux outils informatiques, des réseaux d'énergie à ceux de communication, <strong>rien ne semble plus possible sans la technique</strong>. En accompagnant l'urbanisation planétaire, de servante, elle est devenue maîtresse. La ville a fini par se confondre avec une gigantesque infrastructure. On aurait pu attendre d'elle, en contrepartie, qu'elle soit protectrice. Or, il n'en est rien. Il faut remettre en jeu le corps dans la ville, prendre la question des sens – des cinq sens – au sérieux et placer le vécu de l'habitant au cœur du design urbain. La crise a montré que la relation est la valeur fondamentale de la ville résiliente. Cet essai souligne l'urgence de concevoir la ville autrement, de créer une architecture de la résonance ; résonance avec la planète, avec le contexte, avec l'habitant.</p>
<p>« La crise a dévoilé la vulnérabilité d'un monde urbain, dont on pensait que la sophistication et l'efficacité le rendaient infaillible. Or c'est précisément sa dépendance vis-à-vis de l'infrastructure technologique qui a provoqué la paralysie de la vie collective et économique. Cette situation extraordinaire expose au grand jour la prise de pouvoir de l'infrastructure technique, et comment celle-ci, à la surprise de tous, n'a fait preuve d'aucune résilience. »</p>
<h3 class="spip"><a href="https://www.actes-sud.fr/catalogue/nature-et-environnement/la-ville-stationnaire" class='spip_out' rel='external'>Pour Philippe Bihouix</a>, </h3>
<p>La croissance des villes est devenue insoutenable :<strong> le secteur de la construction est l'un des principaux émetteurs de gaz à effet de serre et engloutit des quantités énormes de ressources,</strong> pendant que l'étalement urbain dévore les sols naturels et agricoles.<br class='autobr' />
Dans l'écoconstruction, les expériences se multiplient mais sont encore marginales. La densification et <strong>la métropolisation n'ont pas apporté les bénéfices environnementaux escomptés</strong>, tandis que se révèlent les vulnérabilités d'une concentration humaine trop grande. Quant aux promesses d'une technologisation accrue, les vertus des futures smart-cities restent mystérieuses ou ténues, malgré les incantations. <br class='autobr' />
<strong>Et si les villes n'avaient pas vocation à grandir éternellement ?</strong> Plus tôt nous protégerons nos terres agricoles, naturelles et forestières de l'artificialisation, plus grande sera notre résilience face aux risques et aux crises écologiques à venir. Au plus vite, les villes doivent – et peuvent – devenir stationnaires. Il ne s'agit pas de les figer, mais de les transformer et les embellir, d'exploiter l'immense patrimoine déjà bâti.<br class='autobr' />
Surtout, c'est notre rapport aux territoires qu'il faut faire évoluer, en favorisant la redistribution des services et des emplois, <strong>en œuvrant à une nouvelle attractivité des villes moyennes, des bourgs, des villages et des campagnes</strong>. Désormais les métropoles ne doivent plus attirer et grandir, mais essaimer.</p>
<p>Bon, après les constats qu'on est tous en mesure de faire nous-mêmes (mais pas si bien), la question de l'avenir (celui qu'on veut léguer) est plus précieuse qu'un retour sur les 30 calamiteuses et tout leur fatras d'erreurs coupables et de compromissions pitoyables. Nos deux briscards, bien au fait de l'urbanisme et de l'architecture de ce millénaire en tant que gérant de Ferrier et Marchetti ou en tant que vice-président de l'AREP, la plus grosse agence d'architecture française n'en ont pas manqué une miette. Alors après avoir tué le père quelles sont leurs visions pour demain ? <br class='autobr' />
« Tant que l'on ne parviendra pas à redonner une vision de l'avenir de nos sociétés et du monde, tant que l'on n'expliquera pas avec courage les enjeux que les générations futures devront affronter, tant que nous ne parviendrons pas à convaincre nos concitoyens de la capacité à traiter des problèmes avec efficacité, tant que nous ne parviendrons pas à donner une légitimité à nos institutions démocratiques, l'incertitude va s'autoalimenter, les anticipations négatives s'autoalimenter, les anticipations négatives se renforcer en rendant le redressement de la situation de plus en plus difficile » (D. Kessler dans « Les Echos »).</p>
<p>Comme il, n'est pas seul à le dire, prenons la peine de lire ce que nos deux experts ont à nous dire :</p>
<p>L'écriture est précise, ciselée. <strong>Voici un résumé ici des thèses</strong>, en reprenant la progression de la pensée, mais on n'est pas là pour recopier tout ce qui est écrit : n'hésitez pas à acheter les livres chez votre libraire indépendant favori, pour en savoir plus sur le fond de la pensée de nos deux auteurs : ce sont de purs régals.</p>
<h3 class="spip">« Jacques Ferrier : comment se libérer de l'emprise technologique » : pour aller vers la ville sensuelle</h3>
<p>1) La crise de confiance : <br class='autobr' />
2) Le règne de l'infrastructure :<br class='autobr' />
3) <strong>L'histoire :<br class='autobr' />
4) La conquête de l'air :<br class='autobr' />
5) L'envahissement des objets : <br class='autobr' />
6) Le mouvement perpétuel :<br class='autobr' />
7) Le corps dans la ville : </strong> <br class='autobr' />
8) S'impliquer :<br class='autobr' />
9) Pour un nouveau contrat : <strong>vers la ville sensuelle : à titre d'exemple, voir <a href="https://www.lemonde.fr/culture/article/2008/04/02/le-pavillon-francais-a-shanghai_1030055_3246.html" class='spip_out' rel='external'>le pavillon « France » de l'expo de Shangai</a> (2010)</strong></p>
<p><a href="https://www.lesechos.fr/2009/04/shanghai-2010-les-six-sens-du-pavillon-france-452881" class='spip_url spip_out auto' rel='nofollow external'>https://www.lesechos.fr/2009/04/shanghai-2010-les-six-sens-du-pavillon-france-452881</a></p>
<p>Egalement de Jacques Ferrier, le siège de la Méropole de Rouen, <a href="https://www.propassif.fr/actualites/31-le-hangar-108.htm" class='spip_out' rel='external'>le « Hangar 108 » certifié « Passivhaus Plus »</a><br class='autobr' />
<span class='spip_document_1199 spip_documents spip_documents_center'>
<img src='http://www.centrale-energie.fr/spip/IMG/jpg/metropole_roeun.jpg?1688222022' width='500' height='282' alt="" /></span></p>
<p>.<br class='autobr' />
.</p>
<h3 class="spip">« Philippe Bihouix : comment mettre fin à l'étalement urbain » ? Vers la ville stationnaire</h3>
<p><strong>0)</strong> Introduction : <br class='autobr' />
<strong>1)</strong> <strong>La ville dense n'est pas écologique :<br class='autobr' />
<strong>2)</strong> De l'attractivité territoriale à la ville repoussoir : <br class='autobr' /> .. a) Les promesses non tenues</strong><br class='autobr' /> Prix du foncier<br class='autobr' /> Les affres de la densification<br class='autobr' /> Saturation et congestion<br class='autobr' /> .. b) Dans les villes mondes</strong><br class='autobr' /> . Uniformisation<br class='autobr' /> . Accélération <br class='autobr' /> .. c) <strong>Vers le de-marketing territorial</strong><br class='autobr' />
<strong>3) Les promesses délétères de la smart city : intéressant ! </strong> <br class='autobr' />
.. a. Brève histoire d'un concept flou :<br class='autobr' />
.. b. Quelques cas d'écoles : Songdo, Toronto, The Line <br class='autobr' />
.. c. Ecolo la smart city ? <br class='autobr' />
.. d. Effet et inerties systémiques :<br class='autobr' />
.. e. Effet rebond :<br class='autobr' />
.. f. Optimisation vs résilience :<br class='autobr' />
.. g. Small is beautiful :<br class='autobr' />
.. h. Retour sur Terre :<strong><br class='autobr' />
<strong>4) </strong> L'éco-construction ? Cache-sexe du business as usual ? </strong> <br class='autobr' />
.. a. Les pistes de l'éco-construction :<br class='autobr' />
.. b. <strong>Dans la jungle des labels</strong> : bah...pour une fois qu'il y a de la diversité... <br class='autobr' />
.. c. Eco-matériaux :<br class='autobr' />
<strong>Si le ciment était un pays, ce serait le troisième plus émetteur de gaz à effet de serre après la Chine et les US devant l'EU…</strong><br class='autobr' />
.. d. Recyclage et réemploi :<br class='autobr' />
<strong>Les déchets du secteur de la construction : pas piqués des vers </strong> <br class='autobr' />
.. <strong>e. Matériaux bio-sourcés, vers une impasse volumétrique : </strong> <br class='autobr' /> Géo-sourcé / Bio-sourcé<br class='autobr' />
.. f. <strong>Construction bois : quelles ressources disponibles </strong> : combien de division, mon général ?<br class='autobr' />
.. g. Construction bois : quel besoin dans le futur ? <br class='autobr' />
.. h. Retour sur les « contraintes surfaciques » :<br class='autobr' />
.. i. La construction terre : un potentiel encore trop négligé :<br class='autobr' />
.. <strong>j. Faire flèche de tout bois :</strong><br class='autobr' />
L'écoconception ne résoudra pas tout. Sans une remise en cause des programmes et des besoins, sans une réduction substantielle de la « quantité à construire » à l'avenir, le pari est en tout cas très incertain. Il y a certes de beaux projets qui sortent, des initiatives louables et sympathiques, des programmes de recherche sur les matériaux, une réglementation qui évolue progressivement… Tout cela est sans doute nécessaire, mais certainement insuffisant. Pour résoudre l'équation environnementale, il faudra faire « flèche de tout bois » : dès maintenant, mieux réemployer les matériaux des bâtiments qu'on déconstruits, et à l'avenir pour ceux qu'on incorpore dans les nouveaux ouvrages.<br class='autobr' />
<strong>5) Les réflexions embryonnaires du « Monde d'après » :</strong><br class='autobr' />
.. a. <strong>Rob Hopkins, la résilience dans tous ses états</strong><br class='autobr' />
.. b. La résilience en physique : T Young et W. Rankine<br class='autobr' />
.. c. <strong>La résilience en psychologie : B. Cyrulnik</strong><br class='autobr' />
.. d. La résilience en écologie : Holling « la panarchie » <br class='autobr' />
.. e. <strong>La résilience socio-écologique : La loi inéluctable des cycles adaptatifs : « Collapse » de Jared Diamond</strong><br class='autobr' />
.. f. Construire la résilience ?<br class='autobr' />
.. g. Les stratégies de résiliences territoriales : Ademe<br class='autobr' />
.. h. <strong>Quelles « briques » de la résilience ? </strong> <br class='autobr' />
Le Cerema (centre d'études et d'expertise sur les risques, l'environnement, la mobilité et l'aménagement ) : (1) à (7)<br class='autobr' />
The Shift Project : T1 (Comprendre), T2 (Agir), T3 (Organiser)<br class='autobr' />
.. i. L'exemple de la résilience alimentaire : S. Linon<br class='autobr' />
.. j. Derrière la résilience des choix politiques<br class='autobr' />
.. k. <strong>Un nouveau « mot magique » ?</strong><br class='autobr' />
<strong>6) </strong> <strong>La ZAN (Zéro Artificialisation Nette) à la rescousse : depuis 1980, l'étalement urbain est 4 fois plus rapide que l'augmentation de la population</strong><br class='autobr' />
.. a. Stock et flux, bien comprendre les ordres d grandeur : stock entre 7000 et 54000 ha par an !<br class='autobr' />
.. b. Sources et ressources : 1 département artificialisé tous les 10 ans !!!<br class='autobr' />
.. c. Que conclure ? Les lois : Grenelle II, ALUR et ELAN<br class='autobr' />
.. d. L'artificialisation, l'autre revenu agricole, on l'oublie trop souvent…<br class='autobr' />
.. e. L'ambition de la Zéro Artificialisation Nette : process de renaturation<br class='autobr' />
.. f. Petite histoire de la compensation : FWCA (1934), ERC (éviter, réduire, compenser)<br class='autobr' />
.. g. Ou en sommes-nous aujourd'hui ? Côté absurde<br class='autobr' />
.. h. ZAN, une nouvelle étape : <br class='autobr' />
. Réduire de moitié d'ici à 2031<br class='autobr' />
. Zéro Artificialisation Nette à partir de 2050 : inscrit sur des bases bien instables<br class='autobr' />
<strong>7) </strong> <strong>De la ZAN à la ZAB (Zéro Artificialisation Brute) : vers la ville stationnaire : La Loi Climat et Résilience,</strong> issue de la Convention Citoyenne pour le Climat. Parallèle entre la ZAN et le CCS (Carbone Capture Stockage)…<br class='autobr' />
.. a. Les limites de la compensation/renaturation<br class='autobr' />
.. b. Incertitudes physiques : technosol ou anthroposol ?<br class='autobr' />
.. c. Quels stocks disponibles ? grand flou. (<strong>3 ou 400.000 sites pollués pour 100.000 ha</strong>)<br class='autobr' />
.. d. La question économique :<br class='autobr' />
.. e. Réduire les flux : échec de la ZAN planifié ? pression à construire intacte <br class='autobr' />
.. f. <strong>Le processus d‘urbanisme : ZAN. STRADDET</strong> (Schéma régional d'aménagement et de développement durable du territoire). <strong>SCOT </strong> (Schéma de cohérence territoriale). <strong>PLU </strong> (Plan Local d'Urbanisme)<br class='autobr' />
.. g. Comprendre la consommation d'espace dans le SCOT<br class='autobr' />
.. h. <strong>Quels résultats en espérer ?</strong></p>
<p><strong>En conclusion, </strong> après des constats similaires sur l'état des lieux, (la critique de la « ville-machine » pour le premier et de la « ville-ogre » pour le second) les propos divergent vers une « ville sensuelle » pour J. Ferrier et pour P. Bihouix vers cette « ville stationnaire », qui n'est pas du tout une ville figée mais au contraire très dynamique, qui se prépare activement pour affronter les grands challenges qui nous font face, tout en essaimant ses meilleures pratiques. Des propos clairs servis par des chiffres précis, pour se faire une idée nette des sujets brulants du moment, très loin du brouhaha médiatique qui règne en maître sur le sujet.</p>
<p>Pour synthétiser, deux approches pas aussi incompatibles qu'il n'y parait, celle d'un architecte qui réfléchit sur son temps et continue à proposer des solutions pour un public qui veut du rêve et celle d'un aménageur, qui après la sidération du diagnostic initial veut apporter à un public averti des solutions d'avenir offre de réelles solutions pérennes en dehors de toute polémique en analysant les données disponibles sans complaisance. Deux livres rafraîchissants de clarté et de précision.</p>
<p><span class='spip_document_1202 spip_documents spip_documents_center'>
<img src='http://www.centrale-energie.fr/spip/IMG/jpg/couverture_livres.jpg?1688232224' width='500' height='322' alt="" /></span></p>
<p><strong>P.S</strong>. 01/06/2023 au sujet de La ZAN : <br class='autobr' />
« Le texte visant à faciliter la mise en œuvre du Zéro artificialisation nette (Zan) des sols pour lutter contre l'étalement urbain sera examiné le 21 juin à l'Assemblée nationale et un accord parlementaire se dessine, a <a href="https://www.batiactu.com/edito/zero-artificialisation-nette-un-dispositif-entierement-66377.php?MD5email=41a6fd1640b1e4157254c3212b49da80&utm_source=news_actu&utm_medium=edito&utm_content=article" class='spip_out' rel='external'>déclaré le ministre de la Transition écologique, Christophe Béchu</a>, devant l'Association des petites villes de France (APVF), le 1er juin.</p></div>