Je ne suis pas convaincu par la démonstration de Dufresne et Treiner.
J’accepte tout à fait le coup de la bulle et le fait que dans ces conditions, la réémission du CO2 dans la bande autour de 15µm, va donc se passer à plus haute altitude et donc à température plus basse à cause du gradient adiabatique terrestre illustré par la figure 6.
L’article en conclut que la réémission se passant à plus basse température son intensité sera plus faible. Pour retrouver un bilan énergétique équilibré, il faut donc augmenter la température de l’atmosphère de la quantité nécessaire pour retrouver ce bilan équilibré comme le montre la figure 6.
Ce raisonnement serait vrai si le rayonnement infrarouge du CO2 était un rayonnement thermique, ce qui n’est pas le cas !
Les niveaux d’énergie en cause dans la réémission infrarouge du CO2 sont peu sensibles à la différence de température entre les deux altitudes d’émission et leur intensité d’émission ne devrait pas beaucoup varier ; Le bilan thermique devrait donc rester équilibrer, ne conduisant donc pas de ce fait à une augmentation globale des températures de l’atmosphère.
Je ne suis pas convaincu par la démonstration de Dufresne et Treiner.
J’accepte tout à fait le coup de la bulle et le fait que dans ces conditions, la réémission du CO2 dans la bande autour de 15µm, va donc se passer à plus haute altitude et donc à température plus basse à cause du gradient adiabatique terrestre illustré par la figure 6.
L’article en conclut que la réémission se passant à plus basse température son intensité sera plus faible. Pour retrouver un bilan énergétique équilibré, il faut donc augmenter la température de l’atmosphère de la quantité nécessaire pour retrouver ce bilan équilibré comme le montre la figure 6.
Ce raisonnement serait vrai si le rayonnement infrarouge du CO2 était un rayonnement thermique, ce qui n’est pas le cas !
Les niveaux d’énergie en cause dans la réémission infrarouge du CO2 sont peu sensibles à la différence de température entre les deux altitudes d’émission et leur intensité d’émission ne devrait pas beaucoup varier ; Le bilan thermique devrait donc rester équilibrer, ne conduisant donc pas de ce fait à une augmentation globale des températures de l’atmosphère.